Le travail de la photographie me permet d’explorer une autre facette de l’objet décoratif de collection, celle du rapport au corps à travers la relation obsessive, voire fétichiste à l’objet.
Le travail en deux dimensions, qu’il prenne la forme d’esquisses préparatoires, d’explorations formelles ou d’études de représentation, vient autant en prélude qu’en prolongement du travail sculptural.